Qu'on ne lui couvre pas le visage de mouchoirs
afin qu'il s'habitue à la mort qu'il porte.
Pars, Ignacio: ne regrette pas le chaud mugissement.
Dors, vole, repose : la mer aussi se meurt!
Federico Garcia Lorca
mardi 1 février 2011
Ô solitude
Libellés : Garcia Lorca Federico, photos, poésie
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