
C'est la terre, mon Dieu! la terre que je cherche,
le pli de l'horizon : pulsation, sépulture.
La douleur qui s'achève, l'amour qui se consume,
la tour de sang ouverte avec des mains brûlées.
Federico Garcia Lorca
Le petit théâtre de NÛSSOUMELOK Ier, roi de Nulle Part
Le véritable voyageur "c'est celui qui, en chaque pays parcouru, par la seule rencontre des autres et l'oubli nécessaire de lui-même, y recommence sa naissance."
C'est la terre, mon Dieu! la terre que je cherche,
le pli de l'horizon : pulsation, sépulture.
La douleur qui s'achève, l'amour qui se consume,
la tour de sang ouverte avec des mains brûlées.
Federico Garcia Lorca
Libellés : arbres, Garcia Lorca Federico, photos, poésie, reflets
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