Il faudra bien qu'un jour j'étouffe le nomade,
Mais au coin de quel quai et dans quel port de mer,
(...)
Sur le seuil de quel bar, écœuré d'exotisme,
Aurai-je assez de force et le goût de tuer ?Louis Brauquier
mercredi 21 avril 2010
Tri(e)ste
Libellés : Brauquier Louis, Italie, photos, poésie
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