Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
François Villon
jeudi 18 février 2010
Buisson ardent
Libellés : arbres, photos, poésie, Villon François
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