Comme les pierres du Commencement
Comme le commencement de la Pierre
Comme le commencement pierre contre pierre
Voici les fastes de la nuit :
Le poème encore sans visage
Le bois encore sans arbres
Les chants encore sans nom
À pas de léopard c'est l'irruption de la lumière
La parole se lève ondule tombe
Et c'est une grande blessure un silence sans tâche.
Octavio Paz
dimanche 1 novembre 2009
Voyeur
Libellés : N et B, Paz Octavio, photos, poésie
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